Écoutez cette musique en lisant mon histoire : https://www.youtube.com/watch?v=Ra-Om7UMSJc
“ Je sais ce que vous voulez savoir. Quelque chose que je m'était efforcé de ne plus mentionné, ni à voix haute, ni dans mes pensées. C'était l'une des décisions où Delphine et moi tombions toujours sur le même point. Delphine ? C'est ma sœur. Je l'aime, tout simplement. C'est avec elle que j'ai dû supporter la fureur de maman. Oops ! Maintenant j'ai commencé l'histoire, et merde ! Bon, je vais vous faire plaisir et la terminer. Avant, je vivais en Espagne, plus précisément, à Madrid. Nous vivions ensemble comme une famille aimante. Tout allait pour le bien ce que...
« - Sale c*n ! Arrête ! Tu vas tout cassé ! hurlait ma maman.
- Quoi ? Moi ? C'est plutôt toi, sale pét*sse ! »
Les voix cessèrent de se lever, Delphine et moi espérions que tout était fini, mais ce n'était pas le cas. Autre chose le leva. Poings, couteaux, assiettes, verres, fourchettes, poêles se levèrent et s'affalèrent sur les parents opposés. Maman saignait, papa aussi. Mais dans les yeux de maman, la colère était là, chez papa, au contraire, c'était de la profonde tristesse. Nous, assis sur notre escabeau, regardais se stop comme ne réconciliation. Mais ce n'était que la fin. La fin de cette bien jolie famille, qui avait vécu tant ensemble...
« - Dégage ! Part ! Et laisse-moi ici avec les filles !
- Et pourquoi je devrais ? C'est bien ma maison, ici ! »
Et ça continuait. Jusqu'à ce que papa décide de s'en aller, mais juste pour pouvoir laisser ses filles ici. Nous étions triste, bien entendu, mais nous pensions aussi qu'enfin, il n'y aurait plus de querelles a voir, vivre en paix.
Mais nous pensâmes faux, notre mère aimait encore papa. Beaucoup, même. Elle nous reprocha, tant elle le pouvait, que cela était de notre faute, que papa soit parti. Elle nous tapait au fouet, quand elle le voulait, mais savait qu'il va falloir trouvé une raison pour laquelle elle les battait. Alors, depuis cette réflexion, à chacun de nos gestes ou paroles, qui était pas accueillit, bien évidemment, elle nous battait, disant que c'était pour nous élever. Papa, lui, était loin, il n'en savait rien, jusqu'au jour où Delphine retrouva son vieux téléphone portable, qu'elle utilisa de suite pour appeler papa et lui dire ce que maman nous faisait subir. Il vint nous chercher, nous prendre légalement, et nous ramena chez lui. À Manchester. Je vécu quelque temps chez lui. Mais je ne supportait pas de le voir. Car je ne voyait ni en lui un saveur, ni un père. Je le voyait en tant que ex-mari de celle qui nous tapait. Je ne voulait plus vivre avec lui. Il me comprenait, et m'envoya alors dans le bâtiment, où j'était censé me reconstruire Delphine et mon père venait me visiter chaque jour. Je leur poser presque toujours la même question, celle qui me hantait : Pourquoi maman nous reprochait à nous de t'avoir chassé, alors que c'est elle-même qui l'a fait ? Ils répondaient toujours à l'unisson : Je ne sais pas... Encore une chose sans réponse. Bref. Depuis j'habite ici, dans ma maison. Mon foyer, quoi ! Et je suis heureuse. D'accord, je fais souvent la fête, même si j'ai pas le droit, et tout, et tout. Mais je fume juste un peu, juste aux fête. J'ai ma meilleure amie Nikki, qui vie dans le même chambre que moi, on se partage tout, absolument tout ! Et j'en suis bien contente ! Sinon, ma vie se limite un peu aux fête, aux visites de Delphine et de mon père, à Nikki, et bien évidemment, aux dragues et aux garçons ! J'aime ma nouvelle vie, j'aime cette maison, j'aime tout ! Bon, d'accord, la, j’exagère, on dirait que j'ai bu, mais je pense comme ça. Je j'aime ça... Plus que tout... Oui, je sais, j'en fais de nouveau un peu trop, mais je suis heureuse ! C'est ce qui compte, non ? Bon, c'était ça, mon histoire ! ”